Gen et Sasuke vs Ao Kiji

Gen arriva dans un endroit ou il y avait beaucoup de construction sa allait etre aventageu pour lui mais pour sasuke....il ne savait pas alors sasuke arriva juste apres lui il attenda Ao Kiji mais posa une question a Sasuke:
Sasuke quel est ton fruit a quoi sert-il?
Il attenda sa réponse mais il fut assez préssé il avait peut-etre un plan,alors qu'il vit arrivé Ao Kiji il se dit:
Arr non le voila et l'autre ne m'as pas encore répondus bon avec tout ses constructions et ses barres en fer sa vas tres m'avantagé avec ma vitesse hihi il s'y attendra pas.
Il regarda Ao Kiji arrivez il sortit son épée il allait commencez par le corp a corp.

Kiji avait laissé à Zitor le soin de capturer Shank pendant
que l amiral poursuivait l autre empereur. Poursuivait est un grand mot car
Kiji laissa partir la proie mais lui au lieu de courir, il marchait
tranquillement comme si rien n était. L air était purs comme la rose du matin,
le vent soufflait légèrement sur le visage calme de Ao. Il vit Sasuke et autre
gars s enfuir par les toits. Mais ceci ne faisait pas plus réagir l amiral qui était
entrain de draguer des filles puis un marine l interrompe pendant ça discutions
et lui dit d une voix apeuré

A A aA Amiral les captifs sont encerclés dans un chantier.

Bien bien je vais voir.

Amiral suivait le marine d un pas non chaland. L air ennuyait il arriva sur
place, c était un bâtiment de construction. Puis il vit un homme et
Uchiwa et commença a s avançait près d eux et s asseye auprès d eux et
attendit leurs réaction la main soutenant ça tête.

Junko se promenait depuis un bon moment dans les rues de LogueTown. Enfin le verbe "promener" n'était pas vraiment le mot exact, en réalité, elle s'était plutôt perdue dans la ville. Elle vivait ici depuis très longtemps mais elle avait tout de même réussit à se perdre. Et sans savoir comment elle s'était retrouvée devant un chantier, un batîment en pleine construction. Cet endroit ne lui disait rien...habitée t'elle vraiment ici ? Elle bailla ouvertement. Ce n'était certainement pas en restant ici qu'elle pourrait quitter la ville.

*Bon je ferais mieux de faire demi-tour*

Mais au moment où elle s'apprêtait à faire marche-arrière, elle vit de loin, un homme plutôt grand et lorsqu'il fut assez près, elle put constater de qui il s'agissait. Hum, si elle ne se trompait pas s'était l'Amiral Ao Kiji. Il tombait plutôt mal, heureusement pour la demoiselle, il ne savait pas qu'elle avait l'intention de devenir dangereuse. Il était clair, que Junko n'était pas au même niveau que lui. Elle continua à le regarder.

*il a l'air un peu...bizarre non ? c'est mauvais un amiral dans les parages ! Que fait-il ici ?*

Elle s'éloigna et alla se cacher quelque part où on ne la verrait pas. Du moins elle l'espérait. Elle se mit à réfléchir et se dit que lorsqu'elle serait connue, elle aurait à faire à ce genre de personne. Et l'idée qu'un jour elle devrait combattre Ao Kiji lui donna presque envie de vomir. Elle n'avait strictement aucune chance, elle était trop faible. Qui plus est elle avait entendue pas mal de rumeurs à son sujet...rien de réconfortant, loin de là. Elle remarqua ensuite, deux autres personnes. Elle ne savait pas pourquoi mais elle sentait qu'il y allait avoir une bataille.

*enfin un peu d'actions*

(PS : ne m'en voulais pas si je m'incruste mais je commençais à m'ennuyer...)

Le jeune homme inconnu, sûrement de peur, prit la fuite
comme notre ami Uchiwa.D.Sasuke. L amiral regarda la scène d un air surpris
puis sortit une bouteille de saké cacher dans son uniforme tendance dans
la poche de devant. Toujours assied, Ao commença a versait un peu de saké dans
une coupelle puis Kiji bue tranquillement ce délicieux nectar fruité d une
exquise fraîcheur des lorsque que ce breuvage délicieux toucha les lèvres du
grand connaisseur qu est Ao Kiji. Une légère odeur de prunier blanc flottait dans
ces airs, le silence était roi de ces lieux calme ou ne restait plus que Kiji
entrain de boire tranquillement son saké.

Puis il se leva et vit une superbe femme assez petite comparée a lui ce
qui est normal me diriez vous ^^. Les cheveux noirs comme la nuit dansait au rythme
du vent. Des grand yeux gris se marie bien avec son visage d ange. La femme
avait une silhouette parfaite, des formes ou il fallait et tout et tout (bave^^),
les hanches avec des courbes perfects. Le regard de cette femme captivait Kiji
bien que se dernier essayait de la quittait du regard il n y arriva point.

Le géant commença a s approchait de la femme et lui dit

Lalalalalalalalalalalalalalalalalalalala.

Ceci est la technique de séduction de l amiral. En lui disant ses mots il prit
les mains de l ange et attendit ça réponse en la fixant dans les yeux

Junko observa la scène en silence et souria, elle ne s'y attendait pas mais elle comprenait, après tout elle ferait sans doute pareille à leur place. Mais elle fut tout de même déçue, elle s'attendait à une belle petite bagarre, ainsi elle aurait pu voir la puissance de ce fameux Amiral. Enfin bon dommage, pour une prochaine fois. Toujours cachée, elle l'observa en train de boire du saké, elle fit une grimace. Junko n'en croyait pas ses yeux, était-ce vraiment un amiral ? Des pirates qui se tenaient auparavent juste devant ses yeux venaient de s'enfuir comme ça et lui, il restait là à boire. Qui plus est, il aurait pu les rattraper facilement avec ses longues jambes...c'était la première fois que la jeune femme voyait quelqu'un d'aussi immense. Enfin, elle n'allait pas resté là toute la journée...elle commença à se lever pour s'en allait. Mais au même moment, elle se sentit observer. Elle se retourna donc et prit une mine éffarée. Elle était repérée. Ao Kiji la regardait et ne la quittait pas des yeux.

*bon relax, il ne va rien arrivé...mais pourquoi il me regarde comme ça, il s'intérinsse plus à moi qu'aux autres !*

Junko détourna immédiatement le regard, elle détestait ce genre de contact, qu'on la regarde ainsi la mettait horriblement mal à l'aise, mais elle paniqua encore plus lorsqu'elle le vit s'approcher d'elle et lui dire Lalalalalalalalalalalalalalalalalalalala. Elle le regarda se demandant si c'était bien un Amiral et si il allait bien. Pourquoi lui disait il ça. Quesque cela voulait-il dire ? Elle ne le savait pas mais elle ne voulait pas le savoir.

*il est...bête ou quoi ?*

Mais elle se sentit encore plus mal lorsqu'il lui prit les mains. Elle sentit alors une immense haine l'envahir. Elle détestait qu'on la touche comme ça, même si c'étaient juste ses mains. Elle ne le connaissait pas et regretter déjà de ne pas être partie. Si seulement c'était une personne normale, elle aurait bien frapper. Mais Junko venait tout juste de penser à cela. Ce type n'était PAS une personne normale. Mieux valait éviter les embrouilles. Mais il était en même temps hors de question de rester ici. Puis elle se mit à rougir, voilà qu'il la fixait à présent, une chose de plus que Junko détestait. Reprenant peu à peu ses esprits, elle retira immédiatement ses mains de celles de l'Amiral. Et son regard changea. Il devint froid, hautain mais un éternel soupçon de douceur venait se mélangé à cet étrange visage. C'était peut être un peu déconcertant mais on s'y faisait. Et rien qu'à voir comment elle regardait l'Amiral on pouvait facilement deviner que Junko n'était pas contente.

Je vous prie de bien vouloir retourner à vos activités Monsieur !

Ce fut la seule chose qu'elle put dire, car on ne pouvait parler que d'une certaine façon avec un Amiral, et il vallait mieux rester polie et éviter les ennuies. De toute magnière, Junko était quelqu'un de bien élevée et il lui était difficile de parler mal à quelqu'un.

L amiral fut un peu surpris par la beauté de cette jeune
femme qui on aurait pu croire quelle était aussi pur que la neige avec son teint
pale. Mais la pureté de la neige s opposaient au ténébreux de ces cheveux,
telle le jour et la nuit, c est deux facette de cette femme la rendait belle
mais aussi sombre ce qui rendait son charme encore plus attirant que autre
chose. Une petite pointe de mystère rend toujours la femme plus intéressante
que autre chose. Son parfum envoûtait l amiral comme si ce dernier était sous
hypnose, ensorceler par la beauté de cette mystérieuse femme.

Apres avoir touchait cette ange qui s était incarnée en humaine, la sublime
femme retira ses mains de celle de l amiral. Comme par gène ou par peur de
Kiji. Ceci était compressible voir un homme s approchait de vous avec une telle
taille déjà puis en vous touchant, ceci était tout a fait légitime. Ao en
prit conscience trop tard quand l ange lui dit de se retirez gentiment, l
amiral remarqua que plus il en découvrait sur cette personne plus il en tombait
amoureux. Telle un ange venu du ciel, elle apparut a l amiral, telle une rose
elle envoûta l amiral par son parfum de prunier blanc et par ça voix de sirène
il fut tomber dans ces filet.

Puis Kiji sous le charme de la jeune femme dit d une voix

Veuillez m excusez de mon attitude un peu téméraire mais on dit que les anges n
ont pas de noms mais seulement de joli visage est-il vrai ?
Excusez moi aussi je ne me suis pas pressentez. Je me nomme Kuzan. Je suis
Marin. A votre service

Kiji se mit a genoux et sortit des tulipes noir dont ne sais ou et les tendit
vers la belle

Après qu'elle eut retiré ses mains, elle vit que l'Amiral ne bougeait pas d'un poil et comprit qu'elle n'allait pas s'en débarrasser aussi facilement. Le visage de la jeune femme se radoucit et elle écouta ses escuses. Junko ne savait pas vraiment quoi penser. Cela lui faisait bizarre, c'était la première fois qu'on lui présentait des escuses, mais aussi la première fois qu'on la comparait à un ange. On aurait pu donc penser que cela la flatterait que l'on s'intérinsse à elle. Mais cela lui déplaisa fortement. Elle ne pouvait accepter sinon cela voudrait il qu'elle devrait admettre ses fautes. Que les gens étaient diférents, qu'elle avait tort, et que changer d'avis serait préférable. Et cela était inconcevable dans l'esprit de la jeune femme. Tut simplement parce que depuis son enfance, elle avait toujours vécu avec cette idée. Et puis qui était-elle pour être comparée à un ange ? Elle n'était qu'une simple fille de 17 ans, sans rien, ne gardant qu'une rancune envers les gens et envers tout ce qui l'entourait. Elle n'avait pas du tout la même idéologie que ces êtres ailés. Junko se tut et ne répondit rien. Elle se contenta de tripoter d'une main son kimono. Elle détourna son regard et sembla surprise lorsqu'il se présenta.

*Kuzan ?*

Elle fut surprise bien qu'elle ne le montra pas, pourquoi ne disait il pas qu'il était Amiral, Junko le savait, pourquoi le cachait ? Enfin, cela lui était égale. Elle supposa qu'il attendait sans doute qu'elle lui dévoile son nom. Mais ça il était vraiment hors de question. Elle n'aimait vraiment pas cette étrange manière qu'il l'avait de la regarder ainsi, à croire que Junko se demandait si elle n'avait pas un bouton sur le nez. Elle resta là sans rien dire et au bout d'un moment, l'expression de son visage changea à nouveau, laissant place à un regard doux et gentil. Le ton de sa voix aussi avait changé, il était bien plus sympathique. Oui, Junko était une personne étrange, et tous ces jeux d'expressions étaient invrésemblables. Etait-elle sincère ou fausse ? Il était impossible de le savoir.

Mon nom importe peu !

Elle le regarda sortir des tulipes noires. Pour le coup, Junko fut surprise, d'ailleurs ses yeux la trahissèrent facilement. On n'avait pas besoin d'un grand dessin pour comprendre qu'elle ne s'y attendait pas. Mais le plus incroyable était que les tulipes noires étaient ses fleurs préférées...elle hésita puis les prit. Elle les contempla. Elle les rapprocha de son nez et sentit leur odeur. Encore une fois, une sensation étrange la parcourut, s'était la première fois qu'on lui offrait des fleurs et en plus celles qu'elle préférait. Elle en prit une et la mit dans ses cheveux.

Ma foi, vous êtes un curieux personnage...

Kiji commençait à perdre la tête, cette femme devenait de
plus en plus intriguer quand elle dit que sont nom importait peu ce qui fit frémir
Ao car ceci voulait dire non. Alors était telle vraiment un ange ? Mais
en regardant plus profond dans son regard, on pouvait entrevoir un monde emplit
de tristesse et de haine caché derrière un épais rideau de pluie. On di souvent
que les yeux sont les portes de l esprit alors l esprit de cette femme avait
quelque chose de brisait en elle. Elle montrait un visage méfiant quand.

Kiji tendit les tulipes, elle fit déstabiliser, elle hésita au début a touchait
comme si les tulipes était un cadeau empoisonné, mais elle les prit puis les
regarda puis les sentit. Quand elle sortit son visage des tulipes, son visage s
illumina et fit tombait le masque tragique qui orner son paisible visage avant.
Quand le sourire revenu aux lèvres de l ange, elle dit que Kiji était un
curieux personnage. L amiral fut surpris par la réponse douce et calme de l
ange.

L amiral regarda l ange dans les yeux comme si il voulait plongé au
plus profond de son esprit et trouver la cause de cette tristesse pressente
dans le coeur d un ange. Il dit d une voix douce et calme a son tour

L ange que vous étés ma rendut comme je suis devant vous. Mais je voudrais
savoir étés vous un ange déchu par une tristesse qui vous ronge dans votre
coeur comme une maladie et appelez moi Kuzan ou peut être me connaissez vous
sous le nom de Ao Kiji Amiral de la marine ? Et excusez moi encore une fois si
je vous dérange avec mes questions mais est-ce que je pourrais savoir votre nom
madame L ange ?

Pendant qu il disait ceci il remit la tulipe tombante a ça place dans le
cheveux de l ange au nom inconnu

Junko soupira, elle ne savait pas quoi faire. D'un côté, cette situation était très déplaisante de son point de vue, et la jeune femme n'avait qu'une envie : quitter ce fous furieux. Car pour elle, un homme qui lui parlait et la regarder comme ça n'était qu'un fou. Mais de l'autre côté c'était la première fois qu'elle se retrouvait dans cette situation, elle se sentait donc un peu dépassée et ne savait pas comment réagir...Enfin bien qu'elle n'aimat pas toute cette scène, elle ne le montra pas. Son visage resta identique, doux et gentil comme d'habitude quoi. Même lorsqu'il lui parla de sa tristesse, il l'avait donc remarqué...Elle ne répondit pas et se contenta de sourire. Puis il lui dit enfin qu'il était Amiral, ce qui confirmait les quelques doutes qui restaient à Junko. Mais il insistait avec son nom.

*il perd son temps, je ne lui dirai pas...ne peut il pas aller voir ailleurs ?*

Encore une fois, la jeune femme se tut et resta là à sourire de son jolie visage. Il n'était pas près de savoir qui elle était. Elle s'éloigna peu à peu de lui, elle détestait qu'on soit trop proche d'elle. Puis elle s'appuya contre un mur et se décida enfin à dire quelque chose.

Vous le découvrirez peut être un jour !

Elle hésita dans son esprit. Elle voulait partir mais le fait de savoir qu'elle n'était pas capable de faire face à une telle situation la mettait hors d'elle. C'est sans doute pour ça qu'elle décida de rester jusqu'à ce qu'elle soit capable de se débarrasser d'Ao Kiji sans pour autant s'enfuir comme une voleuse. Junko prit compte que malgrès tout cela, le monde était remplie de surprises. Il y avait vraiment des gens bizarres même dans cette ville qu'elle connaissait si bien et qui de son point de vue semblait morne et ennuyeuse. Visiblement son esprit était revenue, et elle ne semblait plus perturbée.

*bon il faut que j'apprenne à gérer cette situation ! et je ne partirais pas avant, au moins comme ça je saurais faire*

Elle regarda la fleur dans ses cheveux et passa sa main dessus. Ce geste ne lui plut pas également. Mais qui était-il bon sang ? Pourquoi elle ? De toutes les filles existant dans ce monde, ne pouvait il pas aller en embêter une autre ? Visiblement, Junko n'apprécier pas que l'on vienne l'aborder ainsi. Elle replaça calmement la fleur. Et toujours en souriant elle demanda timidement

Vous faîtes qu'elle taille ?

Oui, c'était un peu étrange de demander ça maintenant et comme ça. Mais Junko n'était pas comme les autres filles, de son avis, il devait faire au moins trois mètre si ce n'est plus. Avait-elle raison ? Elle lui souria, l'incitant ainsi à répondre. Bien qu'elle n'aimait agir comme cela, lorsqu'elle voulait quelque chose, elle savait comment se montrer inisistante. Qui pouvait bien résister à ce petit visage angélique qui demandait une chose aussi simple ? Et qui plus est avec une voix totalement charmante !

L esprit de Kuzan était plutôt embrouillait par cette réaction
de l ange déchu quand elle recula un peu de lui pour se poser sur un mur comme
prit de peur ou qu elle se retrancher dans ces derniers rempart. Puis elle dit
d une voix sensuel et douce que peut être un jour il le découvrira. Apres cette
phrase un silence pesant s installa entre les deux personnages, Kiji assied
phase au soleil et à ange et un ange des ténèbres appuyait contre un mur dans l
ombre de ce dernier. Deux personnages complètement différents sur tous les
points. L un est connue, grand de taille et extravagant et l autre inconnu de
tous, petite et discrète, on dit toujours que les opposés s attirent *sbaf*.

Le vent souffla comme une douce mélodie dans ce monde de silence, l odeur de
prunier blanc était emportait par les rafales de vent jusqu au narine de notre
amiral préfère(c est normal c est le seul ^^vous allez me dire).Puis l ange de
la nuit regardait l amiral quand ce dernier posa sa main sur la tulipe qui
tombait des ces cheveux couleur nuit d émeraude, elle garda toujours un sourire
qui devait sûrement lui servir de masque pour cacher cette tristesse intérieur
qu elle cherche a caché sans y réussir.

Le sourire la meilleur
arme pour séduire ou cacher ses vrai sentiments ou une peine intérieur n étés
vous pas d accord ? Et ma taille est de 3m60

Puis il sortit une bouteille de saké avec deux coupelles puis versa le nectar
dans les coupelles et en tendit une vers la jeune femme au visage d ange

Junko ne sut que répondre et une nouvelle fois son regard changea. Il devint froid, distant et méfiant. Il lisait trop bien en elle, comme dans un livre ouvert. Ce qu'elle n'apprécia guère, elle n'aimait pas que l'on se préoccupe et que l'on s'intérinsse trop à elle. Elle ne demandait pas grand chose, juste qu'on la laisse seule comme toujours. Et que l'on la laisse tranquille pour pouvoir réfléchir, penser. Habituellement personne ne put deviner le lourd poid qu'elle semblait porter sur elle depuis sa naissance. Car oui, Junko considérait sa vie un peu comme un fardeau. Et c'était exactement pour ça qu'elle devait s'en aller d'ici. Cette ville ne lui apporterait désormais plus rien et vivre ronger par les douleurs du passé n'était pas une bonne idée, il fallait l'avouer. Mais ce "géant" était différent. Lui il avait perçut ce qu'il se passait au plus profond de son coeur...
3m60, elle n'était pas loin; c'était bien la première fois qu'elle voyait quelqu'un d'aussi grand, mais à vrai dire, elle avait demandé la taille de l'Amiral uniquement pour changer de conversation, mais cela n'avait pas marché car celui-ci était revenu sur le sujet principal. Voulait-il vraiment savoir son histoire ? Pourquoi insister, cela ne faisait qu'intriguer et souffrir la jeune femme. Car oui bien qu'elle ne le montrait pas, elle avait connue un grand moment de solitude, et son caractère en avait été modifié. Et puis elle aussi voulait savoir ce que représentait des amis, ce que c'était d'être aimé et d'aimé. Et bien qu'elle le souhaiter vraiment, elle n'y était pas encore prête et il lui faudrait sans doute un peu de temps pour trouver ses nakamas (^^ j'adOore ce mot). Elle lui répondit calmement et doucement.

Un sourire est parfois trompeur, mais ce qu'il cache l'est encore plus. Ne me parlez pas comme si vous saviez tout de moi, car en réalité vous ne savez rien.

Elle le regarda verser le saké dans une coupelle puis la lui tendre. Elle resta là à la contempler. Junko n'avait jamais but une goutte d'alcool. La seule boisson qu'elle acceptait était l'eau. Car celle-ci était pure et elle ne trahissait jamais celui qui la buvait. Quand aux autres boissons, l'on ne savait jamais ce qu'elles contenaient. Et puis, Junko n'aimait pas du tout le goût de ce breuvage. Et puis, il ne lui en faudrait pas beaucoup pour perdre la tête, chose qu'elle ne voulait pas. Elle le regarda et repoussa gentiment la coupelle et répondit en un petit sourire.

Désolé mais je ne bois pas.

(sorry pour le petit post mais je n'ai pas trop d'inspi là...)

Telle un ange, cette femme était plein de mystère. Mais une
chose était sure, cette femme a quelque chose de brisée en elle, quoi ? L
amiral ne savait point et essayer de comprendre ce que ça pouvait être. Son
visage angélique cachait en vrai une peine aussi profonde que les abysses et
aussi noire que les ténèbres les plus obscures. Et quand elle lui dit que un
sourire peut être trompeur mais moins que ce qu il pouvait cacher. Ceci fit q
un tour dans tête de notre amiral. Elle a bien quelque chose de cachait derrière
ce visage calme et bienveillant. Un passé lourd, sûrement mais Kuzan a lui
aussi un passé lourd a porté.

Puis il s assied devant la jeune femme au nom toujours inconnu et lui tendit un
coupelle pleine de saké mais l ange repoussa la coupelle gentiment, belle,
gracieuse et avec de bonne manieur. Ne buvant pas d alcool, une personne sans
vice. Parfaite en gros mais avec toujours cette pointe de mystère qui attirait
de plus en plus l amiral. Un silence s était installé depuis un petit moment.

Le Kiji fini ça coupelle de saké et dis en versant de nouveaux dans ça coupelle
d une plus sérieuse que a son habitude

Vous avez raison, je ne sais rien de vous mais je suis sur d une chose c est
que vous avez quelque chose de briser en vous et j aimerais savoir plus pour
pouvoir vous aidez a partagez ce fardeau qui dois être lourd pour vous seul

Puis il commença a reboire une fine gorgée de saké puis reprit.

Vous savez, vous n étés pas la seule a porter un lourd fardeau, j ai du tué un
de mes ami pour une justice que je n ai pas su appliquer le moment voulu et je
regrette mon acte et j essaye de faire de mon mieux pour pouvoir me racheter.

Apres c est quelque mot fini, la nuit commençait à tomber et l ange était
toujours face a face avec l amiral

Junko le regarda boire son saké. Il lui parla. Quelque chose de briser ? Partager ? Seule ? Lourd fardeau ? Voilà que ce qu'elle essayait de cacher depuis tant d'années venait d'être découvert en un instant par une seule personne. Peut être fallait-il être plus prudent dans l'avenir, si elle continuait comme ça tout le monde serait au courant. Comme si elle voulait partager son histoire, ses sentiments. Elle le pensait vraiment...ce type était fou ! Junko se posait la question. Pourquoi voulait-il savoir ? Il n'y avait rien à dire. Ne pouvait-il simplement pas comprendre que se confier à un inconnu était imposible ? Et puis, il fallait bien qu'elle l'avoue, raconter son histoire n'était pas son passe-temps favoris et d'aileurs elle ne l'avait jamais dit à personne. Disons que se plaindre n'était pas son habitude. Oui, car pour Junko tout déballer, c'était comme se plaindre. Voilà une chose qu'elle n'aimait pas. Elle ne voulait pas embêter les autres avec ses sôtises.
Oui, c'était vrai, elle n'était pas la seule à porter un fardeau, elle en était bien consciente. Et elle pensait aussi que beaucoup de personnes étaient dans un cas bien pire que le sien. Elle l'écouta. Il avait donc quelque chose lui aussi qui le tracassait et le ronger ? Et voici la raison, il avait tué son ami pour la justice. Mais au fond qu'était la justice ? Elle se détourna de lui et alla s'asseoir par terre. Repensent à ce qu'il venait de lui dire. Il l'avait dit ! Lui, son lourd fardeau...et elle n'imaginait pas les peines qu'il devait endurer...elle ne pouvait pas comprendre puisqu'elle n'avait pas eu d'amis. Enfin maintenant elle portait autre chose en plus. Enfin, elle baissa la tête et un petit sourire vint se dessiner sur les lèvres. Ils étaient mal-chanceux voilà tout. Et puis dans sa tête, elle se sentait horriblement soulagée, de voir qu'elle n'était pas seule et que quelqu'un d'autre qu'elle était tout aussi mal-heureux. Et qui sait, peut-être pire non ? Enfin voir quelqu'un comme elle, juste sous ses yeux, qui lui avait en plus parlé, c'était un vrai bonheur. Oui ce qu'elle pensait était très égoïste mais elle l'était. Après un court moment de silence, qui commençait à devenir pesant, elle releva la tête vers l'Amiral et lui souria.

il commence à faire nuit...

C'était peut être mieux que le soleil commençe enfin à se coucher, ainsi il ne pourrait pas la fixer. Elle le regarda et ne le quitta pas des yeux. Il essayait de se racheter ? A quoi cela servirait-il ? Ce n'est pas cela qui fera revivre son ami. De toute manière, Junko n'avait rien à se reprocher, elle n'avait rien fait de mal. Mais elle, elle ne pouvait rien faire. Si personne ne l'aimait, après tout ce n'était pas sa faute. Mais cet homme avait sans doute le moyen de se faire pardonner, c'était ce qu'une partie d'elle pensait. Et elle, elle ne le pouvait pas et elle ne savait pas comment. Elle se considérer comme la victime dans tous ça et la victime n'avait pas à se racheter. Du moins, elle ne le pensait pas. Soudain, elle posa ses mains sur ses oreilles et elle répondit à Ao Kiji.

Arrêter de me raconter ça ! Vous ne savez rien de moi et je ne veux rien savoir de vous ! Gardez ce que vous savez pour vous

Une chose était sûr, elle ne voulait plus que l'on s'intérinsse à elle et elle ne voulait pas s'intérésser aux autres. Déjà qu'elle devait supporter ses problèmes, elle n'avait aucune raison de connaître ceux des autres et de ressentir de la peine pour cette personne. Junko gardait toujours ses mains sur ses oreilles et fermaient les yeux. On aurait dit une enfant qui boudait. C'était peut-être un peu enfantin.

pourquoi racontez ça à une inconnue ? Ce ne me regarde pas

Elle ajouta d'une voix un peu incertaine et tremblante.

de toute manière ça ne me fais rien alors vous perdez votre temps ! je ne vous dirai rien sur moi et je serais muette comme une tombe ! autant parler à un mur !

La nuit, ce que l homme avait le plus peur car inconnu. On faisait
toujours référence à la nuit dans des circonstances funestes. Telle les ténébreux
qui s était abattue sur la ville, l ange commençait a avoir sa part d ombre l
envahir de plus en plus que les ténèbres s installait dans cette ville.
En y repensant c est la première fois depuis que ce drame s est passé que l
amiral en reparla. Une vague d angoisse submergea l amiral comme un tsunami envahissant
les terres, la peine de repensait a ce souvenir fit comme remuait un poignard
dans son coeur. Pourquoi ? Il l avait fait pour la justice ? Pourquoi avoir des
remords ? Il a fait pour la justice universelle ? Toute c est questions trottait
dans la tête de notre amiral
Pendant ce temps d absence de l amiral, un silence pesant venait de nouveau de
s installé dans les nuits. Les reflets de la lune sur les cheveux de l ange faisait
pensait a une auréole tout autour d elle. Le parfait contraste, un ange
illumine les ténèbres de cette ville connue pour ça renommé macabre comme celle
qui a vue naître et mourir le seigneurs des pirates. Le silence fut brisait par
l ange qui remarquait que la nuit venait de tomber
L ange n avait pas bougé depuis tout a l heure, le regard perdu dans celui de
Kiji, son regard aussi profond que les abysses les plus profondes cachait toujours
avec un brouillard et un épais rideau de pluie, la vraie peine de cette femme
brisait.
On dirait que ce que l amiral avait dit sur son passé toucha en plein coeur
notre belle ange qui était devenue troubler. Comme au début, elle était pure
comme de l eau de source, a l annonce du passé de l amiral, la rendit de plus
en plus refermer sur elle même. L apparence de femme resta la même mais elle
prit l attitude d une petite fille complètement perdu et face a des problème qu
elle ne peut regeler seul. Puis elle demanda dans un élan de colère ou de peur
pourquoi lui racontait-il ça ? Pourquoi elle ? Pourquoi il voulait tant savoir
sur elle ? Cette dernière ferma les yeux et avait mit ces mains gracieuses sur ces
oreilles.

Puis l amiral sortit un autre bouquet de fleurs, que des tulipes noires, sauf
une qui n était pas encore fleurit. Puis il posa ces mains sur celle de l ange
puis les baissa tout doucement. Et lui dit d une voix calme

Je veux juste vous aide. Vous étés comme cette fleur qui n a pas encore vue la
vrai vie. Aimer et être aimer, avoir des amis, un chez vous. Moi ce que je
vois, c est une âme généreuse et gentille qui ne peut s exprimer.

Puis après avoir baisser les mains de l ange il lui tendit le bouquet

Junko sentit que l'Amiral s'approchait, elle appuya plus fermement ses mains sur ses oreilles et ferma les yeux plus forts. Il lui prit les mains et les enleva de ses oreilles. Elle voulut ne pas écouter ce qu'il allait lui dire mais c'était impossible à moins d'être sourd. Il recommencait avec ses comparaisons. Dabord ce fut l'ange et maintenant une fleur encore fermée. Restée les yeux fermés ne serviraient à rien, alors doucement, Junko ouvrit ses yeux pour se retrouver devant un bouquet. Encore. Elle ne s'y ferait jamais, allait-elle encore agir comme tout à l'heure et accepter les fleurs ? Non, cette fois-ci serait différente. Elle avait devant elle un homme d'une taille anormale, inconnu, qui voulait l'aider, qui lui offrait des fleurs et qui voyait en elle quelqu'un de gentil et généreux, ce qu'elle n'avait jamais pensé. De plus, elle était fille de pirates et en était une aussi. Et lorsqu'il l'apprendrait, voudrait-il toujours l'aidé ? S'il avait tué son ami, pourquoi ne pourrait-il pas se débarrasser d'une parfaite inconnue ? De plus, sans vraiment savoir pourquoi, Junko ne voulait pas d'aide, pas maintenant. Elle resta assise et elle retira ses mains de celles de l'Amiral, puis elle s'éloigna peu à peu, et se leva. Elle le regarda droit dans les yeux et lui souria simplement.

C'est à la mauvaise personne que vous offrez ces fleurs. Je n'ai rien fait pour les mériter.

Elle retira la jolie fleur qu'elle avait mise toute à l'heure dans ses cheveux puis elle tendit sa main comme pour la rendre à l'Amiral, un coup de vent passa et emmena la jolie fleur au loin. Tout compte fait, elle n'était pas différente de cette fleur. Elle allait bientôt elle aussi s'envoler pour voir le monde. Il n'y aurait qu'au près des gens comme elle qu'elle se sentirait bien et elle pourrait peut être commençait à vivre. Elle continua à sourire affectueusement et reprit.

Chaque chose en son temps n'est-ce pas ? après tout votre fleur ne va pas éclore en un jour hein ? alors laissez moi aussi un peu de temps ! Et puis chacun est libre de mener la vie qu'il veut non ? et si je choisis le contraire de ce que vous me dîtes, cela ne regarde que moi. Mais vos propos son intéréssants et vous avez de bons arguments.

Elle secoua un peu son kimono et tortilla ses cheveux. C'était un petit tic que de faire les deux choses en même temps. Elle se retourna et un autre sourire plus malicieux vint sur ses lèvres. D'une petite voix, comme si elle rigolait, elle ajouta.

Vous auriez fait sans doute un bon phylosophe si vos idées étaient plus dévellopées et dit d'une manière différente.

Et toujours aussi malicieuse et rieuse, elle poursuivit sur sa lançée. La bonne humeur semblait l'avoir gagner. Ca pouvait arriver parfois aussi. Après tout, il n'y avait pas de raisons pour qu'elle soit toujours triste non ?

Vous pouvez continuer à m'appeller L'Ange, je vous l'autorise ! Et puis...l'Ange déchu que je suis ne dois pas dévoiler son nom à n'importe qui au risque d'être découverte.

Kuzan vit la fleur qui avait laissé dans les cheveux de l
ange s envolait et l attrape avant quel partent trop loin. Puis regarda cette
dernier, magnifique, légère et fragile, comme la femme qui la tenait il y a
quelque temps dans ça main puis que le vent l emporta comme cette femme si elle
n avait pas de repère, sans amis, sans être aimer, sans racines. Telle cette
fleurs elle ira loin mais ne prendra goût a rien et ne pourra ne vivre que rongeait
par le regret et la peine qui la dévore depuis longtemps. En apparence elle ne
veut pas être aidée mais au plus prochain d elle, elle le veut plus au monde, l
amiral en était certain.
Puis l ange se recula de Ao Kiji, elle s était mise assied, comme enfermer dans
une bulle. La peur peut faire réagir comme ça mais ce n était pas la peur qui
la rendait comme ça mais l angoisse que l amiral découvre son secret. Puis elle
répliqua a l amiral qui fallait du temps pour que une fleur s ouvre au monde.
Mais avant elle dit c était a la mauvaise personne a qui il offrait des fleurs.

A qui d autre je pourrais offrir des fleurs ? A part vous madame l ange ? Et
devront nous mérites une chose pour en avoir une autre ? Les fleurs sans
racines sont condamnés a mourir ou a rester seul jusqu a la fin, vous voyiez
cette fleur * en montrant celle qu il avait dans ça main*, elle sais ouvert au
monde mais pour mourir dans quelque jours. Comme l homme, une plante ne peut
vivre sans racine et les racine chez l homme sont les liens qu on tisse entre
chaque personne qu on aime et qui nous est chères. Vous comprendrez ça quand
vous aurez goûter a l amertume de la mort d un être chère.

Puis Kiji posa ça main au sol et retira une dalle en forme de coeur et la gela instantanément
puis le montra a la femme.

Voila comme risque de finir votre coeur si vous continuez a vous torturez sans
rien faire pour allez le poids de votre souffrance. Premièrement, il
deviendra froid et imperméable a tout sentiments puis ...

Kiji explosa le cœur avec ça main

Junko regarda un moment la petite dalle en forme de coeur. Elle regarda Ao Kiji la geler et l'exploser. Elle se mit alors à rire et toujours tout sourire, elle répondit calmement.

ne comparez pas mon coeur à cette petite pierre, mon coeur est plus gros et moins faible.

Elle s'avança vers l'Amiral. Ce fut son premier geste sûr depuis la discussion que fit Junko envers l'homme. Et bien qu'il fut beaucoup plus grand qu'elle, elle leva la tête pour lui parler et pour le regarder. Elle s'était beaucoup rapprochée, sans aucune peur et d'une voix toujours aussi douce avec un soupçon de fermeté, elle poursuivit.

il n'est pas froid et imperméable et il ne le sera jamais et vous savez pourquoi ?

Elle se baissa et ramassa les petits morceaux de la dalle qui étaient tombés par terre. Elle se releva ensuite, prit la main de l'Amiral et les posa au creu de sa main.

parce que bien qu'une infinie tristesse me parcourt, je serais toujours souriante devant tous les défis. Et même si parfois, le sourire est forcé et faux, il y aura toujours un moment où il sera vrai et même si cela n'arrive que très rarement, le fait de voir que je peux encore sourire ne me fera jamais perdre espoir. Vous entendez ? JAMAIS ! Malgré quelques petits problèmes, j'aime ma vie et si je dois attendre longtemps avant de pouvoir la savourer et l'aimer pleinement et bien cela ne me pose aucun problème ! Et vous savez quoi ? Sachez que je ne suis pas toujours triste et qu'il m'arrive d'apprécier certaines choses dans la vie. Voyez mon coeur n'est pas désespéré et n'est pas encore prêt à ressembler à une VULGAIRE pierre !

Elle marqua une pause, ce qui lui permit de reprendre son souffle, elle ne laissa pas le temps à l'Amiral de dire un seul mot, car elle reprit assez vite.

Et je ne me tortures pas ! Et je ne souffre pas ! Je pense juste à certaines choses qui se sont produites ! Alors arrêter, si vous voulez tant aider quelqu'un, allez donc voir ailleurs ! Car je n'ai besoin de personne ! Je me sens très bien comme je suis ! Et je vous ferez remarquer que je ne suis en aucun cas froide ! Je suis gentille et pleine de bonne volonté ! Avec...certes quelques défauts...même beaucoup ! Mais peut importe ! Alors tout ça pour vous dire que vous m'avez mal jugée et que la prochaine fois, attendez de mieux connaître la personne à qui vous vous adressez avant de vous faire une opinion qui serait peut être un peu trop hâtive !

Elle lacha la main de l'Amiral et elle resta là à le fixer de ses yeux sans le lacher d'une seconde. Elle n'était pas vraiment énervée juste un peu secouée et n'avait pas aimé la dalle en forme de coeur qui explose. Elle lui fit un regard fière, presque hautain qui avait l'air de dire "je vous ai eu et vous vous êtes trompés !". Puis elle se détourna et s'éloigna calmement avant de disparaître dans la nuit. Il était tant qu'elle parte. Elle n'avait plus rien à faire ici. De son point de vue, elle avait gagné, elle venait de se prouver à elle-même et à cet Amiral qu'elle n'était pas un ange déchu rongé par une grande tristesse. Elle était juste née mal-chanceuse mais c'est bien connu, la chance change et un jour ce sera son tour, elle devait juste trouvée sa place dans ce monde, c'était son but, son rêve et elle n'allait pas abandonner sous prétexte qu'on comparait son coeur à une simple pierre. Elle était juste née et avait juste grandi dans la mauvaise ville et au mauvais endroit, c'était tout. Enfin, elle quitta le chantier. Bien contante de se débarasser de l'Amiral.

*en espérant qu'il ne me suive pas...* pensa t'elle.